À gauche: ce portrait de Hans PFITNER date de 1935, contemporaine de l'oeuvre présentée sur cette page: 1 photogr.; 10,5 X 7 cm; 9 X 6 cm, Droits: domaine public, Identifiant: ark:/12148/btv1b10219751s, Source: Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg, NIM34803, Provenance: Bibliothèque nationale de France; en dessous: cette photo de Siegfried Palm provient d'une série de photos prises par Willy Pragher pendant les Donaueschinger Musiktage 1964: celle-ci - du 17 octobre 1964 - fut prise pendant la première audition de la sonate pour violoncelle et orchestre de Penderecki (sous la direction d'Ernest Bour), Landesarchiv Baden-Württemberg, Abt. Staatsarchiv Freiburg, Rechtsstatus: Creative Commons, Namensnennung 3.0 Deutschland, W 134 Nr. 077341p.
À droite: Wilhelm SCHÜCHTER, portrait datant de 1958, collection de Harry Schultz, Copyright Dortmunder Theatersammlung, tous droits réservés.
Hans PFITZNER
Concerto pour violoncelle en sol majeur, op. 42
Siegfried PALM
Orchestre Symphonique de la «NWDR» de Hambourg
Wilhelm SCHÜCHTER, 18 juillet 1953
Hans Pfitzner compose ce concerto pour violoncelle et orchestre en 1935, l'oeuvre est dédicacés à Gaspar Cassadó. Sa première audition eut lieu le 27 septembre 1942 à Frankfurt am Main.
C'est le deuxième des trois concertos pour violoncelle que Hans Pfitzner a composé. Le premier - Cellokonzert a-Moll op.posth. - date de 1888, une oeuvre de jeunesse qui ne fut donnée en première audition que bien après son décès, en 1977 à Würzburg. Le troisième - Cellokonzert a-Moll op. 52 - fut composé en 1944, dédicacé à Ludwig Hoelscher. Sa première audition eut lieu le 23 mars 1944 à Solingen.
Une courte description citée d'un texte de Nigel Simeone publié en 2014 par Hyperion dans la brochure du CD CDA67906 avec les trois concertos dans l'interprétation de Alban Gerhardt et du Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin, sous la direction de Sebastian Weigle:
"[...] Qui dit Pfitzner ne dit pas forcément musique concise et organique mais là, dans ce concerto merveilleusement construit, ces deux aspects sont évidents. Le matériau thématique dérive tout entier du lyrique solo de violoncelle (par-dessus un tranquille roulement de timbales), en tout début d’oeuvre. Pour contraster avec cette intégration resserrée des idées musicales, Pfitzner explore son matériau via une diversité de tempos habilement maîtrisée. L’orchestration, adroite et souvent subtile, ne submerge jamais l’instrument solo mais est truffée de surprises attrayantes, à commencer par les cascadantes fanfares de trompettes introduisant la première des sections plus rapides. Ce concerto a beau avoir été écrit pour Cassadó, l’un des meilleurs violoncellistes de sa génération, quantité d’arguments musicaux, au centre de l’oeuvre, octroient au soliste un rôle secondaire, permettant l’essor d’un vaste, et parfois spirituel, dialogue entre les bois et les cordes. Le soliste vient couronner le tout par un fort expressif retour au thème principal menant à une ravissante coda—une transfiguration sobre, aspergée de harpe, du thème inaugural; le soliste clôt l’oeuvre dans une extase paisible. [...]"
Übersetzung in deutscher Sprache
"[...] Pfitzner mag für präzise und organische Kompositionstechniken nicht gerade berühmt sein, doch treten eben diese beiden Aspekte seiner Kunst in diesem wunderschön gearbeiteten Konzert in den Vordergrund. Das thematische Material stammt gänzlich aus dem lyrischen Cello-Solo, das ganz zu Anfang über einem leisen Paukenwirbel erklingt. Im Gegensatz zu dieser engen Verknüpfung von musikalischen Ideen erschließt Pfitzner sein Material mithilfe einer geschickt kontrollierten Vielfalt von Gangarten. Die Orchestrierung ist gewandt und oft feingliedrig gestaltet—das Soloinstrument wird nie zugedeckt, doch ist der Orchestersatz voller reizvoller Überraschungen, so etwa die herunterpurzelnden Trompetenfanfaren, die den ersten der schnelleren Abschnitte einleiten. Obwohl das Konzert für Cassadó entstand, der einer der besten Cellisten seiner Generation war, finden sich im Kern des Werks verschiedene Abschnitte, wo der Solist eine untergeordnete Rolle einnimmt und sich ausgedehnte und zuweilen geistreiche Dialoge zwischen Streichern und Holzbläsern entwickeln. Der Solist setzt diesem Gefüge die Krone auf, indem er in äußerst ausdrucksvoller Weise das Hauptthema wieder erklingen lässt, was dann in eine sehr schöne Coda übergeht: eine zurückgehaltene, harfendurchtränkte Verklärung des Anfangsthemas, in der der Solist die Musik zu einem leise verzückten Abschluss bringt. [...]"
Aus dem Text von Nigel Simeone, 2014, Übersetzung von Viola Scheffel, 2014, Hyperion CD CDA67906
Voici donc...
Hans Pfitzner, Konzert in G-Dur, op. 42 für Violoncello und Orchester, Siegfried Palm, Sinfonieorchester des NWDR Hamburg, Wilhelm Schüchter, 18.07.1953 (Ziemlich ruhig, schwebend - Sehr langsam – Beschleunigt – Allegro – Ruhiges Anfangstempo – A tempo – Langsamer a tempo 18:19)
que vous pouvez obtenir en...
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