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Manuel ROSENTHAL, probablement dans les années 1960
Le jeune Manuel ROSENTHAL
Document provenant de la collection privée de Daniel Achache: 1964, à l'Opéra-Comique de Paris, Manuel ROSENTHAL venait de diriger l'opéra Zoroastre de Jean-Philippe RAMEAU, cliquer pour une vue agrandie
Le jeune Wolfgang Amadeus Mozart
Nancy Storace (1765-1817), gravure datée de 1788, Pietro Bettelini (1763-1829). L'original se trouve à la Johann Wolfgang Goethe-Universität de Frankfurt am Main, cliquer pour une vue agrandie
Anna Selina Storace, portrait peint vers 1790 par Benjamin van der Gucht (1753–1794), se trouvant depuis 1991 à la  National Portrait Gallery, London, NPG 6148, oil on canvas, 76.4 × 63 cm (30.1 × 24.8 in), cliquer pour une vue agrandie
Kopf Bild Rosenthal Manuel 155 250
Wolfgang Amadeus MOZART
«Ch'io mi scordi di te?» – «Non temer, amato bene»
Rezitativ und Arie (Rondo) für Sopran,
obligates Klavier und Orchester, KV 505
Elisabeth SCHWARZKOPF, soprano, Hélène PIGNARI, piano
Orchestre National de la RadioDiffusion Française
Manuel ROSENTHAL
3 mars 1959, Théâtre des Champs-Élysées, Paris

L’air de concert «Ch’io mi scordi di te?... Non temer, amato bene» - Que je t’oublie? ... N’aie crainte, toi que j’aime - fut achevé à Vienne le 26 décembre 1786 «pour Mlle Storace et moi», précisa Mozart le lendemain sur le catalogue qu’il tenait de ses oeuvres. Anna Selina Storace
(portraits à gauche et à droite), que Mozart appréciait beaucoup, avait été la créatrice le 1er mai précédent du rôle de Suzanne des Noces de Figaro. Pour les paroles de l’air («Ne crains rien, mon bien-aimé») Mozart repris celles de la scène (KV 490) composée au début de l’année pour la reprise viennoise d’Idomeneo le 13 mars: Idamante s’y justifie de l’amour qu’il porte à Ilia, inquiète de ses sentiments pour Elettra, dans le KV 505 légèrement modifié pour qu’il puisse être chanté par une femme s’adressant à un homme.

"[...] L’air de concert débute par un récitatif en sol mineur dont l’accompagnement est dominé par les cordes, puis vient l’air comme tel, en forme de rondo et dans la tonalité de mi bémol majeur. La partie vocale, particulièrement virtuose, comporte un très grand nombre de traits d’agilité et de longues notes tenues, elle exige un registre aigu brillant ainsi que la parfaite maîtrise du trille. Mozart traite la partie de piano de manière originale, celui-ci accompagnant seulement l’orchestre par endroits, puis uniquement la voix au cours d’un fort bel épisode dans le mode mineur. [...]" cité d'un texte de Michel Ferland publié dans cette brochure du site atmaclassique.com publiée avec leur CD ACD22636.

Dans cette oeuvre faisant un lien entre l'opéra et le concerto pour piano, "[...] le partage entre le piano et la voix, la profondeur de l’expression allant du plus sombre au plus tendre, offrent l’un des plus beaux duos d’amour de la littérature mozartienne. [...]" Florence Badol-Bertrand dans ce programme de concert du site citedelamusique.fr .

Le texte et sa traduction en français, également cité du site atmaclassique.com référencié plus haut:
Mozart KV 505 texte avec tradFR
Cette oeuvre est ici interprétée par Elisabeth SCHWARZKOPF, soprano, et Hélène PIGNARI, piano, elles sont accompagnées par l'Orchestre National de la RadioDiffusion Française sous la direction de Manuel ROSENTHAL. Il s'agit d'un extrait d'un concert donné au Théâtre des Champs-Élysées de Paris le 3 mars 1959 (diffusé à la radio le 9 avril 1959, selon les données de l'INA), avec au programme:

- Wolfgang Amadeus Mozart, Ouverture de Don Giovanni, KV 527
- Georg Friedrich Händel, «V’adoro, pupille», extrait de Giulio Cesare
- Wolfgang Amadeus Mozart, Air de concert «Ch’io mi scordi di te?», KV 505
- Maurice Ravel, Rapsodie espagnole
- Wolfgang Amadeus Mozart, Air de Fiordiligi «Come scoglio» et Air de Dorabella «E amore un ladroncello», extraites de Cosi fan tutte, KV 588
- Igor Strawinski, Le Sacre du Printemps

Ce concert était donné dans le cadre des cérémonies du 25e anniversaire de l'Orchestre National, il fut retransmis dans de nombreux pays.

Voici donc...

Wolfgang Amadeus Mozart, «Ch'io mi scordi di te?» – «Non temer, amato bene», Rezitativ und Arie (Rondo) für Sopran, obligates Klavier und Orchester, KV 505, Elisabeth Schwarzkopf, soprano, Hélène Pignari, piano, Orchestre National de la RadioDiffusion Française, Manuel Rosenthal, 3 mars 1959, Théâtre des Champs-Élysées, Paris

01. Recitative: «Ch’io mi scordi di te?»    02:10 (-> 02:10)
02. Rondo: «Non temer, amato bene»          03:16 (-> 05:26)
03. Allegretto: «Alme belle, che vedete»    05:05 (-> 10:31)
que vous pouvez obtenir en...
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(*) 1 fichier CUE pour les fichiers décomprimés en WAV et 1 fichier CUE pour les fichiers comprimés FLAC, si votre logiciel peut utiliser directement les fichiers FLAC.


Nancy Storace (1765-1817), gravure datée de 1788, Pietro Bettelini (1763-1829). L'original se trouve à la Johann Wolfgang Goethe-Universität de Frankfurt am Main

Nancy Storace (1765-1817), gravure datée de 1788, Pietro Bettelini (1763-1829). L'original se trouve à la Johann Wolfgang Goethe-Universität de Frankfurt am Main, voir cette page de Wikipedia pour plus d'informations.



Anna Selina Storace, portrait peint vers 1790 par Benjamin van der Gucht (1753–1794), se trouvant depuis 1991 à la  National Portrait Gallery, London, NPG 6148, oil on canvas, 76.4 × 63 cm (30.1 × 24.8 in)

Anna Selina Storace, portrait peint vers 1790 par Benjamin van der Gucht (1753–1794), se trouvant depuis 1991 à la National Portrait Gallery, London, NPG 6148, oil on canvas, 76.4 × 63 cm (30.1 × 24.8 in), voir cette page de Wikipedia pour plus d'informations.