Un court résumé de la présentation de l'opéra, tel que publié dans l'album M141-OP24 (cliquer sur la photo pour une vue agrandie):
Dans l'interprétation que je vous en propose sur cette page, Il s'agit d'une version dite de concert. Le 1er acte est sans coupures, ce sont les scènes d'ensemble des 2e et 3e actes qui ont été coupées:
- dans le 2e acte depuis «Quanta folla! Che chiasso» jusqu'à «Ninnoli, datteri, caldi i marron!» et depuis «Col caretto tutto fior» jusqu'à «dei soldati il drappel!»
- dans le 3e acte diverses coupures entre le début et «Sa dirmi, scusi, qual'è l'osteria», ensuite sans coupures
Le 4e acte est sans aucunes coupures. Et le tout sur 2 disques 33 tours 25cm!.
Pour lire des courts résumés de l'action, tel que publiés dans l'album M141-OP24, cliquer sur les titres ci-dessous:
Premier acte
Deuxième acte
Troisième acte
Quatrième acte
«Musical Masterpiece Society» M141-OP24, Recto de l'album de deux disques 25cm
Les solistes Marilyn TYLER (S, Mimi), David GAREN (T, Rodolfo), Leonardo WOLOVSKY (B, Colline), Corry BIJSTER (S, Musetta), Paolo GORIN (Baryton, Marcello), Gérard HOLTHAUS (Baryton, Schaunard), Henk ANGENENT (B, Alcindoro, Benoît) sont tous des interprètes que l'on retrouve avant tout dans plusieurs enregistrements de Concert Hall / Musical Masterpiece Society.
Carl BAMBERGER dirige un orchestre nommé «Netherlands Philharmonic Orchestra» dans certaines éditions, «The Opera Society Orchestra» dans d'autres: Il s'agit d'un orchestre formé pour l'occasion, apparaissant très souvent dans les enregistrements Concert Hall & Sociétés affiliées, et non d'un précurseur de l'orchestre portant actuellement ce nom (Nederlands Philharmonisch Orkest), fondé bien plus tard, en 1985.
D'après cette page de Wikipedia c'est l'Orchestre Symphonique d'Utrecht (dont le chef à cette époque était Paul Hupperts) qui formait l'essentiel du «Netherlands Philharmonic Orchestra».
L'enregistrement doit donc avoir été fait aux Pays-Bas, la majeure partie des solistes était d'ailleurs avant tout liée à la vie musicale des Pays-Bas.
L'enregistrement paraît en 1956 sur le double album 25cm MMS-141 resp. M141-OP24, le label «Opera Society»: "[...] Opera Society was another label issuing the existing opera catalog and adding new recordings. It is remarkable and amazing that so many standard repertory operas were performed in front of the MMS microphones. Of course, some performances - like the earlier Russian recordings - were remastered from tapes made available by other record companies or were obtained from radio broadcast corporations. But most of the time they were performed by the Netherlands Philharmonic Orchestra renamed for the occasion "The Opera Society Orchestra" [...]. cité de cette page du site soundfountain.com.
Voici donc...
Giacomo Puccini, La Bohème, version de concert, Marilyn Tyler (S, Mimi), David Garen (T, Rodolfo), Leonardo Wolovsky (B, Colline), Corry Bijster (S, Musetta), Paolo Gorin (Baryton, Marcello), Gerard Holthaus (Baryton, Schaunard), Henk Angenent (B, Alcindoro, Benoît), Netherlands Philharmonic Chorus and Orchestra (The Opera Society Orchestra), Carl Bamberger, 1955, MMS-141 resp. M141-OP24
01 Acte 1 30:21
02 Acte 2 14:53
03 Acte 3 19:47
04 Acte 4 25:21
Provenance: «Musical Masterpiece Society» MMS 141 resp. M141-OP24.
que vous pouvez obtenir en...
pour un téléchargement libre, depuis mon site
4 fichiers FLAC, 2 fichiers CUE (*) et 1 fichier PDF dans 1 fichier ZIP
(*) 1 fichier CUE pour les fichiers décomprimés en WAV et 1 fichier CUE pour les fichiers comprimés FLAC, si votre logiciel peut utiliser directement les fichiers FLAC.
À noter que cet enregistrement est également paru - uniquement aux USA - sur bande, un enregistrement binaural (Open Reel Tape - Concert Hall CHT / BN-9-2, voir l'annonce au bas de cette page).
Une restauration de cet enregistrement binaural peut être librement téléchargé sur cette page du site rediscovery de David Gideon (ReDiscovery Stereo RD 162/163, 5e depuis le haut): le son est bien entendu de très bonne qualité, je trouve toutefois que la séparation des canaux gauche et droite est trop prononcée, ce qui donne une sorte de caricature stéréophonique déplaisante, comme c'est hélas souvent la cas dans les enregistrements binauraux de cette époque. À chacune/chacun de se faire sa propre opinion, d'autant plus que l'offre est gratuite, grâce à la générosité de David Gideon, qui est à souligner! L'écoute est en tout cas très intéressante, car elle donne un bon reflet de cette technique binaurale de prise de son.
Musical Masterpiece Society» M141-OP24, étiquette recto du 1er disque
Musical Masterpiece Society» M141-OP24, étiquette verso du 1er disque
Musical Masterpiece Society» M141-OP24, étiquette recto du 2e disque
Musical Masterpiece Society» M141-OP24, étiquette verso du 2e disque
extrait d'une annonce parue dans la revue High-Fidelity d'août 1956